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C'est ainsi qu'Alexandre est grand !

« Un auteur notoirement méconnu. » Ainsi, avec beaucoup d’humour, aimait à se définir Alexandre Vialatte. On pourrait dire, avec juste raison, un auteur magistral injustement oublié pendant des décennies.

Le spectacle

Choisir...


Choisir, choisir sans trahir... Quelle dilemme quand, au bout d’heures et d’heures de lecture passionnée, étonnée, amusée, il faut choisir.

Aussi, je me suis dit que je devais vous communiquer simplement mes élans, mon émerveillement. Alexandre Vialatte, au fond comme en surface, n’a pas besoin d’explications.

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Il est un merveilleux guide dans son univers luxuriant. Alors, j’espère que mes choix seront un peu les vôtres, au pire qu’ils me seront pardonnés.


Ce sera donc un court vagabondage que nous ferons ensemble, en pénétrant dans le monde enchanteur et foisonnant d’Alexandre Vialatte, monde révélé, jadis, par ses chroniques dans le journal La Montagne.

Acceptons de nous égarer dans les méandres du verbe, de poser nos regards là où il pose le sien avec acuité, avec malice, en cherchant, dans le clin d’oeil, l’insolite des mouvements de la vie.


Je ne vous lirai pas Vialatte, je préfère vous en laisser la délectation, je vous le dirai, les yeux dans les yeux, comme une indiscrétion à partager.

Le choix des textes

Éloge de l’avarice
(Chronique des Plaisirs souterrains – Août 1957)

Retours de vacances : La tante Josiane, le cousin Pantaleone
(Chronique des retours amoindris – Septembre 1961)

Dernières nouvelles de la médecine
(M. Spooner, M.Navarro, les médecins, les vieillards et les
lapins – Juillet 1957)


L’heure de Vercingétorix
(L’heure d’Astérix - L’aïeul auvergnat – Décembre 1967)

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Les Auvergnats
(Conquérants à Paris – L’Auvergnat en son pays –

L’Auvergnat et le loup– Décembre 1967)
 

Le loup
(Chronique des Grands micmacs – Juillet 1957)


Chronique du danger des Éléphants
(Éloge du Homard et autres insectes utiles – Mai 1967)


Drôles de noces
(Le mystère de la Mante religieuse – Mars 1971)

Alexandre Vialatte

Né à Magnac-Laval, en Haute-Vienne, le 22 avril 1901, dans une famille de souche auvergnate, et décédé à Paris, le 03 mai 1971, il fut un écrivain extrêmement prolifique qui trouva, dès son enfance, dans le romancier ambertois Henri Pourrat, de quatorze ans son aîné, un ami, puis une référence, enfin un mentor.

Journaliste, chroniqueur dans la presse écrite (au quotidien La Montagne, entre autres titres), nouvelliste (Badonce et les Créatures), romancier (Battling le Ténébreux, Le Fidèle Berger, Les Fruits du Congo), poète, traducteur de Nietzsche, Kafka, Goethe, Brecht et Thomas Mann, Alexandre Vialatte a finalement marqué la littérature française par son style dense, imagé, coloré, rythmé, illustration d’un regard acéré et malicieux.

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L’ Auvergne fut à tel point présente au cœur d’ Alexandre Vialatte, qu’il a livré, du début des années 50, jusqu’au printemps 1971, quelque neuf cents chroniques savoureuses au quotidien

La Montagne et qu’il a sa sépulture au cimetière d’ Ambert non loin de celle de Pourrat.

 

C’est avec des extraits de ses chroniques que nous allons voyager dans le monde étonnant de Vialatte, car c’est ainsi... qu’Alexandre est grand !

Le spectacle en images

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